Un syndicat à la défense de la biologiste pour l’étude de Northvolt
Le président du syndicat, Guillaume Bouvrette, affirme que la biologiste n’a pas subi de pressions politiques pour modifier ses rapports, contrairement aux allégations de l’opposition.
Radio-Canada avait révélé que des références scientifiques utilisées dans une analyse précédente avaient disparu dans l’analyse autorisant le projet Northvolt.
Le SPGQ soutient que la biologiste a fait son travail sans ingérence politique.
L’Association des biologistes du Québec a toutefois exprimé des doutes quant au respect des normes professionnelles dans les deux analyses.
L’opposition libérale a évoqué une possible ingérence politique, tandis que des groupes écologistes demandent un examen du projet par le BAPE et le Centre québécois du droit de l’environnement a intenté une action en justice pour annuler l’autorisation accordée à Northvolt.

















