Il exprime son indignation.
Selon lui, le ministre Benoit Charette aurait autorisé la construction de la plus grande usine chimique de l’histoire du Québec sans avoir étudié les conséquences sur la rivière Richelieu.
Cette rivière est pourtant une source d’eau potable pour 41 municipalités.
De plus, il accuse le ministère de l’Environnement de se plier aux ordres de la multinationale en cachant de l’information aux citoyens.
Bouazzi souligne que les inquiétudes de la population sont légitimes et que la CAQ a la responsabilité de rassurer les citoyens en faisant preuve de transparence.
Selon lui, la CAQ est en train de créer un problème d’acceptabilité sociale et la seule solution serait de déclencher un Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) pour permettre un examen approfondi du projet.