Rappelons qu’une cinquantaine de boîtes destinées aux plus démunis ont été volées dans l’entrepôt à Saint-Lambert fin décembre.
Le président fondateur, Jean-Marie Girard, a déclaré que les gens se sont montrés extrêmement généreux.
En effet, des dizaines de bénévoles se sont mobilisés pour récolter des nouveaux dons à Saint-Lambert.
Les citoyens, les entreprises et même la mairesse de la Ville, Pascale Mongrain, ont pu montrer leur soutien.
Les abords de l’entrepôt de la Grande guignolée des médias de la Rive-Sud ont donc fait l’objet de surveillance policière pour s’assurer qu’aucun autre délit n’ait lieu.
Les dons et denrées collectées seront ainsi redistribuées à une vingtaine d’organismes de la région pour aider les personnes dans le besoin.
Les citoyens doivent enlever toutes les décorations de l’arbre avant de le déposer sur le bord du trottoir.
Les sapins emballés dans un sac de plastique ou mesurant plus de 2,5 m ne seront pas ramassés.
Pour les sapins oubliés, les préposés à la collecte peuvent ramasser les matières résiduelles entre 7 h et 20 h 30.
S’ils ne sont pas passés après ce délai, la Ville invite à laisser le bac en bordure de rue et à prévenir la Division de l’environnement à environnement@saint-lambert.ca.
Cette annonce ouvre la voie à la consultation des membres sur une entente et écarte pour le moment la menace par le front commun d’une grève illimitée au début de l’année 2024.
Les organisations syndicales convoqueront leurs délégations « au cours des prochains jours » dans le but de leur présenter le contenu des propositions d’ententes intervenues à la table centrale et à chacune des tables sectorielles « afin de déterminer si oui ou non elles constituent une entente de principe globale ».
Rappelons que le front commun comprend la C-S-N, la C-S-Q, l’A-P-T-S et la F-T-Q. Il représente environ 420 000 travailleurs du secteur public.
C’est ce qu’a révélé le Portrait statistique de l’Enquête québécoise sur le développement des enfants à la maternelle 2022 (EQDEM).
Le nombre d’enfants qui éprouvent des difficultés dans au moins un domaine de développement a augmenté de 5 % en Montérégie au cours des 10 dernières années, passant de 24 à 29 %.
La proportion d’enfants vulnérables est plus importante chez les garçons, les enfants plus jeunes à leur entrée à la maternelle, les non francophones et les enfants vivant dans un milieu défavorisé.
À l’opposé, les enfants qui ont fréquenté un service de garde ou participé au Programme Passe-Partout avant leur entrée à la maternelle sont moins susceptibles d’être vulnérables.
Les huit tables sectorielles de la CSN ont poursuivi les négociations avec leurs comités patronaux respectifs les 23 et 24 décembre.
Chacune est parvenue à des hypothèses d’entente de principe à l’approche de Noël. Ces avancées concernentainsi les 170 000 travailleurs du secteur public.
Les négociations se poursuivent à la table centrale pendant les fêtes.
D’autres ententes doivent encore être trouvées, notamment sur les enjeux salariaux.
La CSN rappelle par ailleurs l’importance de régler rapidement la question des salaires « afin d’éviter une grève générale illimitée du Front Commun en début d’année ».
La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) n’a de son côté pas trouvé d’entente avec le gouvernement.
Le syndicat, qui ne fait pas parti du Front commun annonce poursuivre les négociations en présence d’un conciliateur nommé mardi.
La FSE-CSQ, qui représente 95 000 enseignants, a affirmé qu’ils ne qualifieront pas cette proposition « d’entente de principe » avant que les membres ne se soient prononcés à ce sujet en assemblée.
Sur sa page Facebook, vendredi soir, il est précisé que la proposition de règlement sera présentée aux membres par les syndicats locaux au retour de la période des Fêtes.
« On laissera après les Fêtes vos syndicats vous expliquer tout ce qu’il y a dans cette proposition de règlement.
On ne veut pas que ce soit les médias qui vous apprennent ce qu’il y a là-dedans », explique la présidente, Josée Scalabrini.
Elle souligne cependant qu’en ce qui concerne les trois priorités du syndicat, soit la composition de la classe, l’allègement de la tâche et la rémunération, les pas qui ont été faits permettent de penser que le syndicat a atteint ses objectifs.
« On a 50% du chemin de fait. Tout ce qui est salaire, assurances, congés parentaux, disparités régionales, ce n’est pas réglé. Et ça, il faudra attendre d’avoir ces résultats-là en Front commun« , précise-t-elle.
Elle rappelle ainsi que des enjeux demeurent à la table centrale de négociation, aussi appelée intersectorielle.
Ce projet de règlement s’est concrétisé au terme de négociations qui se sont poursuivies durant la nuit de jeudi à vendredi, a précisé le syndicat.
D’ailleurs, la gestion du processus de disposition de l’église a récemment été confiée à un comité ad hoc.
Ainsi, l’assemblée de fabrique s’est adjoint les services de professionnels bénévoles de la communauté.
Ces services étaient pour travailler sur une solution viable pour changer la vocation de l’église.
En fait, l’association en est arrivé à définir, après réflexion et pourparlers, qu’il est rendu impossible de maintenir l’église paroissiale dans son rôle actuel.
Il en résulte que de moins en moins de mode la fréquente, les bénévoles se font rares et les charges financières sont devenues trop lourdes.
Il est convenu, d’une part, que les services aux paroissiens et à la communauté soient maintenus durant la durée du processus de disposition de l’église et de son presbytère.
L’établissement est toutefois lié à l’histoire du noyau villageois et il est notamment connu pour la qualité de son acoustique et pour son architecture.