Les policiers vont donc intensifier leurs interventions pendant plus d’un mois, jusqu’au 2 janvier prochain, dans le cadre d’une opération nationale concertée (ONC).
Ils vont cibler la capacité de conduire affaiblie par l’alcool ou la drogue par des interventions, dont des dépistages, qui se feront dans des points de contrôle sur les routes.
Le SPAL et les autres services de police vont aussi diffuser des campagnes de sensibilisation à ce sujet sur leurs réseaux sociaux.
Ils y recommandent de prévoir une solution de rechange pour un retour sécuritaire en cas de consommation.
Cela peut être le recours à un conducteur désigné, le taxi, le transport en commun, un service de raccompagnement ou l’hospitalité d’un proche.
Rappelons que l’alcool ou la drogue demeure l’une des principales causes de décès dans les collisions routières au Québec.
L’alcool était en cause dans 25% des collisions mortelles et dans 15% des collisions avec blessés graves, en moyenne entre 2017 et 2021.