L’entreprise suédoise a confirmé vendredi que ce sera son programme Revolt qui fera l’objet d’une évaluation.
Ce dernier concerne la fabrication de batteries à partir de matériaux recyclés.
Northvolt dit accueillir « favorablement » cette décision.
Elle soutient que ses projets peuvent « respecter les normes environnementales parmi les plus élevées au monde. »
Cependant, l’idée de ne soumettre qu’une partie du projet au BAPE soulève déjà des critiques.
Le responsable de la campagne Climat-Énergie chez Greenpeace Canada, Patrick Bonin, a tonné sur le réseau X que cette décision est « inacceptable ».
Il déplore que le gouvernement Legault « refuse de soumettre le plus important projet industriel de l’histoire du Québec à une évaluation environnementale publique complète. »