Il prend pour exemple le comité consultatif d’urbanisme (CCU), qui a refusé de lui remettre des informations complètes sur sa séance du mois de septembre.
Ses membres y ont alors soumis un dossier d’orientation sur le projet entourant l’ancien temple maçonnique.
Selon M. Blancquaert, le CCU a répondu à sa demande de renseignements en ne lui remettant qu’un procès-verbal caviardé.
Le CCU aurait justifié cette démarche sous prétexte que le dossier fait l’objet d’un règlement juridique hors-cour.
Loïc Blancquaert doute de cette raison et se demande pourquoi seuls les élus qui siègent au CCU ont le droit de consulter ces renseignements.
Il incite donc ses collègues et les comités à faire preuve de plus de transparence, et ce dans tous les dossiers en cours.
La mairesse Pascale Mongrain, qui siège au CCU, rappelle que ce dernier n’a aucun pouvoir décisionnel.
Elle ajoute que le projet de développement du temple maçonnique ne profite d’aucune exception au règlement municipal.