Ce surplus s’explique en grande partie, selon le rapport financier, par la forte croissance du marché immobilier et de la gestion rigoureuse des dépenses.
La majeure partie du surplus provient quasi essentiellement des droits de mutation et de deux transactions exceptionnelles.
De plus, Brossard a réduit ses dépenses l’an dernier de l’ordre de près de 9 M$ par une économie causée par une réévaluation et par des règlements de litiges.
La Ville indique aussi avoir utilisé près de 7,5 M$ à la stabilisation de la dette.
L’administration a l’intention d’octroyer une grande part de cette somme supplémentaire pour faire face aux effets des changements climatiques.
La mairesse Doreen Assaad a indiqué mardi soir que Brossard va opter pour une attitude préventive face aux bouleversements climatiques.