Ce budget a été préparé selon les directives de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et il s’élève à tout près de 226 M$ (225,9 M$), soit une augmentation de 2,4 M$ (+1,1 %) par rapport à 2024.
Cette hausse s’explique notamment par une indexation de 3 % des coûts (5,3 M$), un ajustement de 3,3 M$ lié à la révision du réseau et une contribution aux immobilisations de 1,1 M$.
D’ailleurs, le programme d’immobilisations (PDI) est pour les exercices 2025-2034.
Il prévoit des investissements de 1,9 G$, dont 340 M$ pour l’électrification du centre d’exploitation de Saint-Hubert et l’acquisition d’autobus électriques.
Le financement repose à un peu moins de 89 % sur des subventions, avec un service de dette résiduel passant de 9,6 M$ en 2025 à 18,9 M$ en 2034.
Le PDI se répartit entre les bâtiments (65 %), les véhicules (29 %), les technologies de l’information (3 %), les infrastructures (2 %) et la machinerie (1 %).