La chronique Atypique
Il s’agit d’une chronique mensuelle qui brosse le portrait de notre société par un biais tantôt ludique, tantôt critique fait par Josée Durocher, une personne autiste.
La chronique atypique se veut légère, mais profonde, drôle, mais sérieuse et fait naître des discussions ou des réflexions chez les auditeurs. Traitant de sujets des plus intéressants les uns des autres et en prenant un soin méticuleux à toujours s’inscrire sous le signe du mieux-être, Josée fait place aux différences et à la diversité.
La chronique atypique c’est votre rendez-vous mieux-être pour indéniablement voir la vie quotidienne autrement! Venez à la rencontre de la neurodivergence et cette manière bien particulière d’être et de penser.

Il s’agit d’une chronique mensuelle qui brosse le portrait de notre société par un biais tantôt ludique, tantôt critique fait par Josée Durocher, une personne autiste. La chronique atypique se veut légère, mais profonde, drôle, mais sérieuse et fait naître des discussions ou des réflexions chez les auditeurs. Traitant de sujets des plus intéressants les uns des autres et en prenant un soin méticuleux à toujours s’inscrire sous le signe du mieux-être, Josée fait place aux différences et à la diversité. La chronique atypique c’est votre rendez-vous mieux-être pour indéniablement voir la vie quotidienne autrement! Venez à la rencontre de la neurodivergence et cette manière bien particulière d’être et de penser.
Dans notre Chronique atypique, Josée Durocher revient avec cette douceur lucide qui éclaire des réalités souvent mal comprises. Aujourd’hui, elle aborde un sujet essentiel: les personnes autistes non-verbales. Un univers où l’absence de mots ne signifie jamais l’absence de pensée, d’émotion ou d’intelligence.
Josée nous guide à travers cette réalité avec une précision vécue. Elle explique comment le non-verbal peut être une façon naturelle de fonctionner pour certains autistes, non pas un manque, mais une configuration différente du cerveau. Le langage parlé n’est qu’un canal parmi d’autres; plusieurs préfèrent des voies plus stables, visuelles, corporelles ou technologiques pour exprimer leur monde intérieur.
On explore ensuite des façons concrètes de communiquer: utiliser des pictogrammes, des applications, le langage des signes, mais aussi l’écoute attentive des indices subtils — le regard, le rythme des mouvements, l’espace qu’ils créent autour d’eux. Josée rappelle que la clé n’est pas d’imposer un mode de communication, mais de rencontrer la personne là où elle se trouve.
Cette chronique devient alors une invitation à ralentir, à répondre avec respect et à reconnaître que chaque être humain a une voix, même lorsqu’elle ne passe pas par les cordes vocales.



