Ce sondage a été réalisé par la firme Léger du 23 au 25 février auprès de 1004 personnes.
Il l’a été à la lumière du projet de loi 48 pour réviser le Code de la sécurité routière et demandé par Piétons Québec.
Ces zones où la vitesse dans les rues urbaines devrait être réduite comprennent les corridors scolaires, mais aussi au-delà de ces zones, arguant que les décès et blessures d’enfants surviennent principalement hors de ces zones.
La directrice générale de Piétons Québec, Sandrine Cabana-Degani, critique le projet de loi 48 pour son manque de mesures protégeant les cheminements scolaires.
Elle appelle à une action pour sécuriser davantage les zones autour des écoles et estime que l’ensemble du chemin emprunté par des enfants doit être sécurisé.
Piétons Québec soutient que malgré les risques élevés de décès et de blessures hors de ces zones, le projet de loi 48 n’inclut pas de mesures spécifiques pour sécuriser les trajets des élèves.