Ce manque nuirait aux soins destinés aux patients.
Selon l’APES, 55% des besoins en pharmaciens dans les urgences de la région sont non comblés.
Ce chiffre grimpe à 98% en ce qui a trait aux soins pharmaceutiques reliés à la dialyse rénale.
Ce sont les pharmaciens habituellement qui prennent en charge la prise de médication dans les différents secteurs de soins des hôpitaux.
37% des besoins dans les unités de soins intensifs et coronariens sont non comblés, même si ce secteur requiert un usage de médicaments complexes dont les pharmaciens possèdent l’expertise.
L’APES demande donc au gouvernement d’entamer des négociations avec l’association pour discuter des enjeux majeurs et favoriser l’attractivité de la profession vers les centres hospitaliers.
L’entente de travail des pharmaciens en établissements de santé est échue depuis le 31 mars 2023.