Il craint les contrecoups de la réduction des horaires de vols et d’un droit de regard de la Ville dans le développement des activités aériennes.
Selon M. Vaillancourt, la réduction de vols va se traduire par une perte financière, parce qu’il s’agit de la principale source de revenus de l’aéroport.
L’annonce de la conversion d’une grande part des terrains en terrains sans vocation aéroportuaire l’inquiète aussi.
Par ailleurs, le président d’Aérovision Québec, Marc Tremblay, soulève d’autres questions.
Il s’inquiète de voir Longueuil utiliser l’équivalent de 93 terrains de football pour le développement d’une zone d’innovation aérospatiale.
Il soutient que ce sera au dépend de l’expansion du transport aérien commercial et des écoles de pilotages.
M. Tremblay dit aussi ne pas trouver le Plan climat sur le site de la Ville.
Enfin, il ajoute que le projet ne semble plus inclure la construction d’une aérogare au nom d’YHU.