Ces primes, obtenues après plus d’un an et demi de négociations, visent à soutenir les équipes travaillant dans des conditions difficiles.
Elles devaient être versées au plus tard le 5 octobre 2024, soutient l’organisation.
Le président de l’APTS, Robert Comeau, affirme que cela fait quatre mois que le gouvernement repousse le versement des primes promises.
Pour Joël Bélanger, vice-président de l’APTS, ce retard est « une gifle » pour les professionnels et technicien du réseau.
Ces derniers comptaient sur ces primes pour améliorer leurs conditions de travail et boucler leurs fins de mois.
L’APTS demande donc le versement immédiat des sommes dues, avec intérêts, ainsi que des réparations pour le préjudice causé.
Elle rappelle qu’une situation similaire s’était produite en 2022 pour les primes en protection de la jeunesse.