Parmi celles-ci figurent notamment Belœil, Mont-Saint-Hilaire, Otterburn Park et Sainte-Julie.
L’élargissement de la zone de surveillance permet un suivi plus précis de l’évolution territoriale de la maladie.
Cette mesure vise à freiner la propagation d’une infection virale mortelle, qui représente aussi un risque pour la population humaine.
Des cas de rage ont récemment été confirmés à Venise-en-Québec et Henryville, en Montérégie.
La rage animale connaît une forte progression.
À titre d’exemple, 50 cas ont été confirmés en laboratoire, depuis janvier 2025, dont 42 chez le raton laveur.
En 2024, seuls trois cas avaient été recensés.
Marianne Gagné, biologiste du ministère de l’Environnement, explique les raisons de cette expansion de la zone de surveillance.


