De passage au FM103,3, la députée et adjointe parlementaire au ministre des Services sociaux, Shirley Dorismond, a réitéré que le projet de loi 106 devait servir de base aux prochaines négociations avec la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec.
Selon elle, le système ne manque pas que médecins de famille, mais souffre du manque de communication et de cohésion entre les différents départements et entre médecins et infirmières.
Madame Dorismond a rappelé l’exemple du CISSS de la Montérégie-Centre, où sous la gouverne de Maryse Poupart, les CLSC jouent un rôle majeur dans la gestion des patients, notamment en santé mentale.
Elle a aussi utilisé son exemple personnel pour dénoncer les règles qui existent dans la prise en charge des patients dans certains Groupes de médecine familiale.