Les élus soutiennent que c’est le fruit d’une gestion serrée et de revenus imprévus, principalement en provenance du marché immobilier et de subventions ciblées.
L’excédent découle aussi de dépenses réduites, notamment en masse salariale, affectée par la pénurie de main-d’œuvre, et d’économies en eau.
Le déneigement et l’entretien du réseau y contribuent aussi et la consommation d’eau par habitant a diminué, ce qui, jumelé à la baisse du nombre de fuites .
À l’inverse, les revenus de taxation ont diminué de 260 000 $, en raison du report de projets résidentiels et industriels.
Cet excédent servira à financer des projets d’infrastructure comme la reconstruction du parc de la Providence (2,2 M$), la rue Léo (9,4 M$) ou la réfection de chaussées.
Le tout s’inscrit dans une vision à long terme articulée autour de cinq axes stratégiques.
Ce sont le développement, l’interaction, l’innovation, la durabilité et l’audace.
En 2024, les investissements en immobilisations totalisent 10,2 M$, dont près de 20 % proviennent de subventions.