Tout d’abord, la Municipalité affirme que cette diffusion est non autorisée et le document est signé par ses directeurs en juin 2024.
L’administration clarifie en soutenant que ce document, rédigé à la demande de l’ancien directeur général, était interne et confidentiel.
Il se trouve maintenant sur la place publique et sortie de son contexte sur les réseaux sociaux.
La lettre a semé le doute.
Or, une enquête indépendante de la Commission municipale du Québec a tranché et soutient, dit la Ville, que les allégations de l’ex-directeur étaient infondées.
Aucune ingérence ni comportement déplacé n’ont été retenus contre la mairesse Pascale Mongrain ou le conseil.
Saint-Lambert réaffirme son engagement à la transparence et au professionnalisme.
L’appareil politique n’émettra aucun autre avis.