M.Brodeur – ainsi que l’ancien directeur général de la Ville, George Pichet – ont mandaté une firme pour surveiller les élus de la Ville en 2019, à la suite de la diffusion d’informations confidentielles.
Cette fuite a particulièrement affecté un commerce local, résultant ensuite en une mise en demeure adressée aux élus et à la Ville.
Selon le maire, certains élus blâmaient des fonctionnaires pour la fuite de renseignements.
Ainsi, Pierre Brodeur soutient que la surveillance des élus avait pour but de « blanchir la réputation des fonctionnaires ».
Enfin, Pierre Brodeur affirme que les enquêteurs du CIME se sont concentrés sur la forme de l’enquête qu’il a demandé, plutôt que sur son fond.