La ministre de l’Économie, Christine Fréchette, a évoqué cette possibilité après une rencontre avec Paolo Cerruti, dirigeant de Northvolt en Amérique du Nord.
Bien que l’usine prévue en Montérégie soit maintenue, un rééchelonnement du calendrier est envisagé.
En parallèle, des entreprises québécoises réclament de l’électricité pour leurs projets de décarbonation, alors que le bloc de 354 mégawatts reste alloué à Northvolt.
Ainsi, une décision sur la redistribution pourrait être prise si le projet tarde à avancer, même si ce scénario n’est pas encore à l’ordre du jour.
L’objectif serait de répondre aux besoins des entreprises locales en énergie, tout en laissant une marge pour Northvolt une fois que son chantier progresse.