Ce front, formé de huit associations économiques et municipales, demande au fédéral de renoncer aux restrictions sur l’embauche de ces travailleurs.
La baisse du nombre de postes autorisés par entreprise inquiète particulièrement les milieux d’affaires.
En Montérégie, plus de 10 000 travailleurs étrangers temporaires occupent des emplois pour lesquels la main-d’œuvre locale est peu disponible et qualifiée.
Leur contribution est jugée essentielle au bon fonctionnement de plusieurs secteurs économiques.
Des PME locales craignent que ces mesures entraînent des pertes de contrats, une baisse de production ou la suppression de quarts de travail.
Elles évoquent même un risque de fermeture.


