Au micro du 103,3 FM, elle a mentionné que selon elle, le Québec est à un carrefour de crises, autant en itinérance, en logement et au niveau des opioïdes.
L’itinérance à Longueuil est reliée aux problèmes de santé mentale, de consommation et de manque de logement abordable.
Selon les observations de la mairesse, un nombre élevé de gens dorment même dans leurs voitures.
Les villes doivent maintenant consacrer des ressources municipales spécifiques à l’itinérance et augmenter les budgets des policiers pour faire face à cette réalité.
Selon le coordonnateur de la Table itinérance Rive-Sud, Gilles Beauregard, la réponse à l’itinérance de la part de la Ville de Longueuil était timide avant l’arrivée de l’administration Fournier.
Il y a maintenant une meilleure coordination avec les organismes pour un travail en collégialité, au lieu de voir les groupes se relancer la balle.
Selon la mairesse Fournier, la façon de faire à Longueuil se distingue.