Ce droit permettrait à Longueuil d’acquérir plus facilement des terrains nécessaires à la construction de logements.
Selon la mairesse, Sylvie Parent, le cadre législatif actuel empêche la Ville de se porter acquéreuse.
Il ralentit donc le processus pour contrer la pénurie de logements sociaux.
Le droit de préemption accorderait à Longueuil une priorité sur tout acheteur potentiel, afin de se porter acquéreur d’une propriété au prix du marché.
Pour l’instant, seul la Ville de Montréal profite de ce droit.
Selon la mairesse, cette priorité permettrait à la Ville de Longueuil de réaliser des projets bénéfiques pour les citoyens.
Enfin, Sylvie Parent espère que le gouvernement du Québec répondra positivement à la demande du conseil.