C’est le cas à l’école secondaire Monseigneur-A.-M.-Parent située à Saint-Hubert.
La directrice de l’école, Mélanie Lacourse, a confié à La Presse Canadienne avoir « rapidement » observé les bienfaits de la nouvelle réglementation au niveau de la socialisation.
Depuis l’interdiction, les élèves passent leur temps à jouer ensemble et à discuter pendant le dîner plutôt qu’à rester devant leurs écrans, ce qui, selon Mme Lacourse, a « un impact sur la concentration, l’attention et les apprentissages » des jeunes.
Elle explique que le climat est plus convivial « et parfois, oui, plus bruyant », mais que c’est « formidable » à voir.
Une étude publiée dans le Journal of Adolescent Health indique qu’en 2022, les adolescents québécois passaient en moyenne 7,7 heures par jour devant un écran, soit autant que leur temps de sommeil et plus qu’une journée de classe.


