Le Journal de Montréal rapporte que l’individu (Mohamad Al Ballouz) réclamait l’autorisation de déposer de nouveaux éléments de preuve et une prolongation du délai d’appel.
La femme, qui a changé d’identité en cour de route, soutenait qu’une série d’erreurs de droit avait été commise.
Les juges refusent cependant, estimant ces requêtes frivoles, sans fondement et vouées à l’échec, faute de preuve nouvelle.
Selon la Cour, les arguments avancés reposent sur une thèse déjà écartée par le jury, soit que la mère aurait tué les enfants.
Les magistrats rappellent que la preuve établit clairement la séquence des événements.
Ballouz a poignardé Mme Bussières, étouffé leurs deux fils, tenté de s’enlever la vie, puis incendié l’appartement.


