Malgré l’abandon, ils y voient une opportunité lucrative.
Le terrain à vocation industrielle a pris de la valeur, assurent-ils.
Ils ont espoir que d’autres entreprises viennent s’établir dans la région.
L’élaboration des esquisses du projet a permis de mettre à niveau des configurations urbaines pour accueillir un bâtiment industriel, précise M. Lessard.
La transaction liée à ce terrain à rehausser l’évaluation foncière.
Des revenus en taxe plus importants permettent d’entrevoir plus de services à la population, selon M. Dulac.
L’entreprise suédoise devait établir en Montérégie un complexe de fabrication de batteries pour véhicules électriques.
Québec a investi 510 millions $ dans ce projet, soit un prêt garanti de 240 millions $ pour l’achat du terrain et une souscription de 270 millions $ dans la maison mère de l’entreprise, en Suède.


