Selon lui, les milliards de fonds publics sont en jeu, et ce, sans que les risques environnementaux et les impacts sur la santé et la sécurité des travailleurs aient été suffisamment évalués et sérieusement analysés.
Le Parti Québécois demande une fois encore l’intervention du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).
Il le fait en soulignant que des signaux préoccupants émergent, notamment des craintes de déversements potentiels dans la rivière Richelieu, à moyen et long terme.
D’ailleurs, les maires de Saint-Basile-le-Grand et McMasterville se seraient exprimés, critiquant l’absence de communication sur les impacts locaux, dit le député Paradis en citant un article de ICI Radio-Canada.
Le PQ exige donc un examen plus approfondi du projet.
Il en appelle à une plus grande prudence du gouvernement et à un soutien accru aux PME locales, plutôt qu’aux multinationales étrangères.
Il rappelle aussi que de grands constructeurs automobiles émettent des réserves ou même retirent de potentiels contrats.