Cette position, écrit-il dans un communiqué, s’explique par le fait que c’est lui-même qui a transmis à la Ville les allégations de manquements aux procédures de déclenchement du BEI.
Il l’aurait fait dès qu’il en a eu connaissance, par souci de transparence, ajoute-t-il.
Le SPAL affirme avoir toujours collaboré pleinement avec le Bureau des enquêtes indépendantes et réitère son engagement à le faire dans ce dossier.
Le directeur estime qu’une enquête ministérielle va contribuer à rassurer le public et à éclaircir les circonstances entourant l’intervention policière du 21 septembre à Saint-Hubert, alors que l’adolescent à été atteint mortellement par deux projectiles tirés par un agent.
Le SPAL dit vouloir poursuivre sa mission avec professionnalisme et collaborer à toute démarche visant à établir les faits.


