Le plus récent rapport policier dénombre 1 256 cas de violence conjugale, alors que le taux le plus élevé se trouvait à 1 179 en 2019.
La situation grimpe en flèche pour les interventions policières dans des dossiers de chicane de famille.
Les agents ont répondu à 4 552 appels pour de telles situations l’an dernier.
Ces chiffres reflètent toutefois une certaine moyenne des cinq dernières années, alors que les policiers intervenaient entre 4 300 et 4 460 fois.
Le rapport du SPAL permet de comprendre que le contexte de pandémie peut avoir influencé les comportements familiaux.
Les longues périodes d’isolement de l’an dernier, notamment chez les plus jeunes, auraient contribué à fragiliser le réseau social des victimes de violence domestique.
Ça a été le cas aussi en 2020, indique le Service de police.
Les policiers ont aussi remarqué une hausse des cas de violences chez les couples en cohabitation et une durée plus longue avant la dénonciation.