Il comparaît ce vendredi 25 juillet au palais de justice de Saint-Hyacinthe pour répondre à des accusations d’infractions à caractère sexuel sur des victimes de moins de 16 ans.
Les gestes reprochés auraient eu lieu entre 2020 et 2022 à Rougemont.
L’enquête laisse croire que d’autres victimes pourraient exister ailleurs au Québec.
Devant cette possibilité, la Sûreté du Québec a mobilisé la Structure de gestion des enquêtes sur les crimes en série (GECS).
Ce regroupement provincial permet aux corps policiers de coordonner leurs efforts pour repérer les prédateurs et protéger les victimes.
Les policiers invitent toute personne détenant de l’information à contacter la Sûreté du Québec confidentiellement.


