Ce montant sera utilisé pour développer une nouvelle approche auprès des personnes en situation d’itinérance ou qui présentent des enjeux de santé mentale.
L’approche, dite mixte, verra des intervenant sociaux accompagner les policiers dans leurs interventions.
L’objectif est de réduire la judiciarisation des personnes vulnérables et de ne plus avoir recours systématiquement aux urgences hospitalières.
Selon le ministre Bonnardel, les approches mixtes ne sont pas simples à mettre en place pour les services de police.
Le gouvernement espère que l’aide financière donne des résultats et que l’approche puisse être déployée à long terme.
Au total, 22 services de police dans l’ensemble du Québec vont se partager une enveloppe de 9 M$, dans les trois prochaines années, pour établir des pratiques mixtes en itinérance et en santé mentale