Selon les chiffres, à travers la province c’est 5 % d’augmentation du nombre de signalements, mais il n’y a qu’un peu moins de 30 % qui ont été retenus pour une évaluation plus approfondie.
Les responsables des différentes régions expliquent qu’ils veulent, dans les prochaines années, demander aux communautés de prendre une partie de la responsabilité concernant les jeunes en situation à risque.
En Montérégie, les chiffres sont restés semblables depuis l’année dernière avec une augmentation de seulement 73 signalements.
La directrice de la protection de la jeunesse du centre intégré de santé et de service sociaux de la Montérégie-Est, Marie-Josée Audette, explique l’importance de la participation citoyenne.