Ils jugent leur fermeture comme une manœuvre antisyndicale.
L’organisation syndicale accuse donc la multinationale d’envoyer un message dissuasif aux employés du pays pour étouffer toute tentative de syndicalisation.
Les plaignants demandent l’annulation des mises à pied, la réintégration des travailleurs dans les sept entrepôts concernés et une indemnité équivalente à un an de salaire par employé.
Amazon, pour sa part, offre une compensation de 14 semaines.
La CSN dénonce une stratégie visant à sacrifier la rentabilité de l’entreprise pour freiner le mouvement syndical.
L’affaire sera tranchée en justice.