Il affirme que la création de la Commission des affaires réglementaires et politiques locales l’a pris par surprise et l’a déçu.
Selon lui, elle risque de nuire à la participation citoyenne et à l’implication des conseillers, qu’il juge importante.
Il souligne que deux de ses conseillères ont tenu à assister au conseil d’agglomération pour exprimer leur désaccord et dire qu’elles aimaient y participer, et ce, même si elles ne se représentaient pas aux élections.
M. Martel entend observer avec attention comment les choses vont évoluer du côté de l’agglomération.
Il croit qu’il est de la responsabilité de la Ville de Longueuil de rétablir le lien de confiance.
Catherine Fournier soutient pour sa part que les primes aux commissions peuvent être désormais supportées par les Villes et qu’il fallait revoir le mode de fonctionnement.


