Selon Northvolt, la décision a été prise après un effort exhaustif pour explorer tous les moyens disponibles, afin d’assurer un avenir financier et opérationnel viable pour l’entreprise.
Pour l’heure, sa filiale de l’Amérique du Nord demeure solvable, mais son avenir se retrouve entre les mains du syndic désigné par le tribunal suédois, qui supervisera le processus de faillite.
Sur les réseaux sociaux, la ministre québécoise de l’Économie et de l’Énergie, Christine Fréchette, a fait savoir que le souhait du gouvernement est que «le contrôleur se mette à la recherche d’un acheteur qui investira pour reprendre l’ensemble des activités en Amérique du Nord pour relancer le projet».
Rappelons que le projet Northvolt en Montérégie est d’une valeur de 7 milliards $ dans lequel Québec et Ottawa se sont engagés à investir 2,4 milliards $.