Ainsi, cet habitat sera protégé en terres publiques, dès le 1er janvier 2026, selon le ministère de l’Environnement et le ministre Bernard Drainville.
Cette mesure ajoute 7,45 % d’hectares protégés, portant le total à 28,45 %.
Le ministre Drainville invoque le déclin continu de l’espèce.
Le biologiste Alain Branchaud salue, quant à lui, un pas en avant, tout en rappelant que la majorité des populations se trouvent en terres privées.
Il souligne l’absence de modernisation de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables.


