Ces dépassements se résumeraient en rejets de contaminants dans la rivière, comme des métaux, des hydrocarbures aromatiques polycycliques cancérigènes (HAP), des composés nitroaromatiques et des nitrates.
Deux avis de non-conformité ont été délivrés, nous indique le quotidien, par le ministère de l’Environnement du Québec.
Northvolt, pour sa part, avait nié sa responsabilité en décembre, mais affirme désormais respecter ses obligations et attribue les dépassements à une faible capacité de dilution du milieu.
D’ailleurs, aucune amende n’a été imposée.