Une situation qui préoccupe le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRARU) comme l’explique leur porte-parole, Véronique Laflamme.
D’ailleurs, plusieurs citoyens ont dû accepter un loyer trop cher afin de ne pas se retrouver à la rue.
Ce montant, qui dépasse largement leur budget alloué au logement, a un impact direct sur leur qualité de vie.
Par exemple, les personnes peuvent avoir une alimentation insuffisante ou encore rester dans des contextes de vie précaire, comme une situation de violence conjugale.
Pour atténuer la crise du logement, le FRAPRU rapporte qu’il faudrait construire 10 000 logements sociaux par an, et ce, pour les 15 prochaines années.
Le Québec serait loin du compte, selon le FRAPRU.


