Celle-ci s’inquiète de voir des terres agricoles à haut potentiel agronomique menacées par l’appel d’offres éolien d’Hydro-Québec ainsi que la mise à jour des capacités de son réseau électrique pour la période de 2031-2035.
Dans le sud du Québec, la Montérégie est désignée comme la région offrant le plus fort potentiel de développement éolien, estimé à 2 775 mégawatts, soit près de 400 éoliennes.
L’UPA craint que ces projets, prévus pour 2026, ne s’implantent sur des terres agricoles parmi les plus fertiles du Québec.
Selon le président de la Fédération de l’UPA de la Montérégie, Jérémie Letellier, « les meilleures terres du Québec doivent servir à la production agricole, et non pas à la production d’électricité ».


