Le conseil central de la Montérégie et des syndicats du CISSS affirment que la nouvelle structure n’a pas livré les résultats promis.
Ils parlent d’une centralisation accrue et d’une perte d’efficacité dans le réseau.
Selon eux, l’arrivée de Santé Québec a provoqué des retards de paiements, compliqué l’embauche et alourdi les tâches du personnel.
La présidente par intérim du Conseil central de la Montérégie, Annick Primeau, parle d’un gaspillage de fonds publics avec l’ajout de postes-cadres et des contrats privés.
D’autres représentants, dont Julien Houle et Luc Michaudville, affirment que la réforme Dubé a aggravé la surcharge de travail et n’a pas amélioré l’accès aux soins à la population.
La CSN poursuit sa campagne Faire front pour le Québec et continue de réclamer un réseau public plus décentralisé.


