Le politicien soutient que ces propriétaires sont touchés par le Programme de protection et de conservation des milieux naturels (PPCMN).
M. Lemire a récemment dénoncé une décision prise « vite, vite, vite », sans évaluations écologiques rendues publiques par les élus au pouvoir à Longueuil.
Il dit que plus de 1 685 propriétaires, versant près de 18 M$ en taxes annuelles, contestent le nouveau zonage qui rend leurs 2 961 lots inconstructibles et fortement dévalués.
Plusieurs ont déjà intenté des recours en Cour supérieure.
M. Lemire, estime que la Ville n’était pas obligée d’appliquer ce mécanisme prévu par Québec concernant la décision de la Ville de modifier le zonage de leurs terrains afin de les désigner comme « milieux humides à protéger et à conserver »,.
La mairesse Catherine Fournier a réitéré que le règlement ne serait pas modifié, défendant la protection des milieux naturels contre la spéculation et les promoteurs.


