Ces lacunes se retrouvent dans la politique d’allocations, le suivi, la documentation et la reddition de comptes de ces aides.
C’est ce qu’a soulevé la Vérificatrice générale dans son rapport.
La Ville n’a aucun mécanisme clair pour encadrer et contrôler les quelque 4 M$ versés en 2024 aux organismes, rappelle M. Lemire.
La Direction des loisirs n’aurait aucune politique officielle d’aide financière.
Les sommes auraient aussi explosé entre 2022 et maintenant sans presque aucun suivi, ce qu’il considère inacceptable.
Jacques Lemire soutient que des organismes sont privés de financement parce que d’autres, qui ne font aucune demande reçoivent des sommes sans en avoir fait la demande.
Le chef de l’opposition soutient, comme la vérificatrice générale Séguin, qu’un processus précis doit être mis en place pour traiter les suivis de dons.
La mairesse Catherine Fournier assure qu’un suivi sera fait en respect avec les recommandations de la Vérificatrice générale.


