Le mouvement devrait inclure un refus d’effectuer des heures supplémentaires et, surtout, des interruptions de service hors pointe les lundis, mercredis et vendredis, soit six journées au total.
La STM mettra en place de l’affichage en station et du personnel supplémentaire pour informer les voyageurs, mais invite aussi au télétravail ou à revoir ses horaires.
Sur le plan des négociations, le conflit achoppe sur la sous-traitance et sur les salaires.
La direction propose 12,5 % d’augmentation sur cinq ans et insiste sur l’impartition pour optimiser les ressources, ce que le syndicat conteste.
Quelques rencontres de négociation restent prévues d’ici le 22 septembre, sans percée décisive jusqu’ici.


