Il a réitéré sa volonté de « couper profondément dans la bureaucratie », une promesse caquiste qui, après sept ans au pouvoir, s’est plutôt traduite par un État plus lourd.
Le premier ministre maintient sa volonté de réformer la rémunération des médecins, alors le ministre de la Santé, Christian Dubé est responsable de cette tâche.
La sécurité devient un pilier central de sa stratégie.
Ian Lafrenière hérite de la Sécurité publique tout en conservant les Affaires autochtones.
Il sera chargé de la lutte contre les gangs de rue, le trafic de drogues et l’exploitation des mineurs.
Lionel Carmant reste aux Services sociaux, tandis que Jean-François Roberge conserve l’Immigration, la Langue française et la Laïcité, avec l’intention de déposer un projet de loi interdisant les prières de rue.


