Les pourparlers se font avec la section locale représentant les 714 chauffeurs d’autobus.
L’objectif est d’éviter une grève de trois jours, annoncée pour les 9, 10 et 11 septembre.
Les deux parties se sont rencontrées en médiation ce mardi pour définir les services essentiels à maintenir en cas de grève.
Une entente possible est toujours envisageable et c’est le Tribunal administratif du travail qui aura le dernier mot.
Il doit s’assurer que les services proposés sont suffisants pour ne pas mettre en danger la sécurité du public.
Une audience est d’ailleurs prévue à ce sujet mercredi.
Malgré une quarantaine de séances de négociation, le point de discorde demeure la question des salaires.
La convention collective est échue depuis le 31 décembre dernier.


