D’abord la mairesse a dit en juillet vouloir rétablir certains faits, qui selon elle, sont faux.
Ils sont relatifs à une plainte déposée à la Commission municipale du Québec contre Mme Mongrain, l’an dernier.
La plainte faisait état de harcèlement psychologique de la part d’un directeur général François Pépin et de cols blancs, notamment, a tenu à rappeler le conseiller Loïc Blancquaert.
La conseillère Stéphanie Verreault dit pour sa part que la plainte dirigée par l’ancien DG était portée par plusieurs directeurs en fonction en ce moment.
Elle a voulu rappeler qu’un ancien directeur en poste depuis 2016 a quitté sa fonction à la Ville en raison d’ingérence.
La mairesse Mongrain en convient qu’il y a eu des plaintes, mais elle rappelle encore qu’une enquête a conclu que ces allégations portées contre elle étaient non fondées.
La mairesse souligne aussi que ce «combat» a coûté jusqu’à maintenant plus de 200 000$ aux contribuables, dont 19 000$ pour sa défense.


