La psychologue et enseignante en psychoéducation à l’Université de Montréal, Catherine Laurier, participe à une recherche sur les effets de la pandémie chez les jeunes depuis un an.
Selon elle, un bal ou un autre type d’événement soulignant la fin d’une étape primordiale de leur vie semble être plus qu’une simple suggestion.
Elle affirme qu’il est important d’organiser une activité pour permettre aux adolescents de voir un évènement positif dans le futur.
C’est d’autant plus valable avec la pandémie.
Les jeunes ont fait plusieurs deuils dans la dernière année.
Ainsi, autoriser la tenue d’un bal est une belle façon de reconnaitre leurs efforts.
Catherine Laurier ajoute aussi que l’activité pourrait grandement aider les jeunes qui vivent une grande détresse en temps de pandémie.